Quillard de compétition dessiné par le célèbre architecte anglais
Uffa FOX en 1947.
longueur hors tout :
6,09m
longueur flottaison : 4,57m (‘fifteen’ pour quinze
pieds à la flottaison)
maître bau : 1,52 m
tirant d’eau : 0,76 m
déplacement : 329 kg
lest : 182 kg
surface de voilure 14m2
pas de trapèze ; foc à enrouleur, avaleur de spi
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Il
en existe à l’heure actuelle près de 3700 exemplaires , avec un
important marché de l’occasion.
En
régate, 3 classements possibles en raisons de techniques plus récentes
de construction :
Classic
pour les numéros de 1 à 2700
Silver de 2701 à 3200
Gold : toutes classes comprises |
On
trouve des modèles tout en bois, d’autres tout en plastique, enfin
des composites : coque plastique - pont bois.
Le
voilier a été importé en France pour la première par
des membres du Yacht Club de DINARD en 1997 où il a
depuis lors connu un succès spectaculaire, suscitant
rapidement ensuite l’intérêt des Cazalins. Nos 4 premiers
voiliers ont été mis à l’eau le 14 juillet 98.
Les
2 premiers Nationaux ont été courus à Dinard, le 3e
à Cazaux en novembre 99 et le dernier à Benodet en juin
2000.
Fin
décembre 98 : il y avait 52 Flying Fifteen français
(dont 39 inscrits à l’association des propriétaires).
Fin
décembre 99 : 75 bateaux français (dont 55 inscrits)
bateaux
inscrits à l'association
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fin
2000 : |
43
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fin
2001 : |
47 |
adhérents
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fin
2000 : |
77 |
fin
2001 : |
81 |
bateaux
participant au National = 35 (précédent
record 34 à Cazaux en 99).
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"Femme
Fatale" à Cazaux
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son esthétique.
- ses performances.
- son coût modéré.
- la possibilité de réunir facilement une flotte et de courir
en monotypie
- sa facilité de transport.
- le bon état de ces voiliers souvent âgés de plus de 20 ans
, tenus au sec sur leurs remorques entre les régates , et
sans osmose.
- sa finesse technique de réglage.
- sa stabilité (quille) et l’absence de trapèze facilitant
l’accès aux équipiers de tous âges et de tous gabarits.
- l’esprit convivial de la série, son développement spontané,
associant les amateurs de réglages et les amoureux des jolis-vieux-bateaux-en-bois-vernis.
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Voir
aussi l’article de VOILE MAGAZINE N° 31, juillet 98, p.44-52
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